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"La main sur le cœur, l’espoir sur la branche"
Une fresque monumentale signée Nicole Salgar, où une femme métisse, la main posée sur le cœur, incarne la force, la tendresse et l’engagement. Sur sa branche, un oiseau veille — symbole d’espoir et de liberté. Une œuvre née de l’art urbain pour porter haut les couleurs de la solidarité, en soutien aux enfants du Bénin.
5/8/20242 min read






Une murale comme un souffle : Nicole Salgar peint l’espoir sur les murs pour les enfants du Bénin
Il est des œuvres qui ne se regardent pas simplement.
Elles se vivent. Elles s’écoutent. Elles résonnent.
Sur le mur d’un bâtiment conçu par l’architecte Nadeau, au cœur d’un quartier qui bruisse de vie, une fresque de 50 mètres sur 10 s’étire comme une respiration.
Une œuvre née d’un rêve, portée par une cause : soutenir les enfants du Bénin à travers l’art.
Une fresque vivante, une prouesse de lumière et d’équilibre
Signée Nicole Salgar, artiste muraliste originaire de Floride, cette fresque ne se contente pas d’exister — elle dialogue avec le mur, les passants, la lumière, et les 60 fenêtres qui la traversent comme autant de battements de cœur.
Nicole a su, avec une délicatesse rare, transformer chaque contrainte en opportunité.
Les vides deviennent reliefs, les fenêtres des respirations.
Son trait est précis, sa palette vibrante, son message clair : l’art est un langage universel, et il parle ici au nom de la solidarité.
Quand l’art devient pont
Ce mur n’est pas seulement une surface peinte.
Il est un pont entre les continents, une main tendue entre cultures, une passerelle entre ceux qui créent et ceux qui espèrent.
Notre association œuvre depuis des années pour faire de l’art un levier de transformation sociale. Chaque événement que nous organisons est une promesse : celle de voir naître, à travers la beauté, des gestes concrets pour l’enfance au Bénin.
Cette fresque, monumentale et humaine, est un appel silencieux :
un appel à regarder autrement, à s’unir autrement, à aimer autrement.
L’art comme battement du cœur
Merci à Nicole Salgar, pour sa main, pour sa vision, pour son courage.
Merci à tous ceux qui croient encore que peindre un mur, c’est aussi bâtir un avenir.
Et à vous, qui lisez ces mots, souvenez-vous :
Certains murs divisent.
D’autres, comme celui-ci, unissent.


Art, communauté, espoir.